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IRMA

Samedi 8 mars | 21h00  

Ouverture des portes à 20h15 - Placement libre

Espace Jean-Racine
Rue Ditte
78470 Saint-Rémy-lès-Chevreuse

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En combo avec

The Cinelli Brothers ou Antonio Lizana

Apéro Bar

à partir de 19 heures

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Coup de cœur du programmateur

Parce qu'elle fait partie du club très fermé des chanteuses guitare/voix. 

Dans ce registre, pas de trucage, pas d'effet, pas d'emphase, pas d'erreur possible.

L'émotion est dans la voix, la mélodie est en prise directe avec l'auditeur, la sensibilité est à fleur de peau. 

Propulsée par le phénomène House of Cards (vu plus de 15 millions de fois en quelques jours) Irma renoue avec ses premiers amours : une folk acoustique imparable et addictive, portée par sa voix douce et chaude.

Un air de déjà-vu. Tout a commencé quelques années avant par des reprises guitare-voix sur YouTube pour la native de Douala, au Cameroun, venue préparer à Paris les concours d'écoles de commerce. Puis du jour au lendemain, en 2011, le succès. Après un burn-out à cause des “tournées marathon” à ses débuts, Irma fait son grand retour, accompagnée par sa guitare et, encore une fois, une courte séquence devenue virale sur Instagram, écho de son éclosion sur YouTube il y a 15 ans.

En 2024, avant la Saint-Valentin, la Franco Camerounaise entonne une chanson de rupture, House of cards, dans les rues de la capitale française, avec une guitare, sa voix et sa sœur jumelle, docteure en chimie, derrière la caméra. En quelques jours à peine, les courtes séquences cumulent plus de 15 millions de vues sur Instagram.

Avec un «like» d'un fan particulier, Nick Mulvey, chanteur folk britannique. «Il s'abonne à moi, c'est dingue ! J'avais sa musique dans les oreilles quand je marchais à New York, où je vivais en 2013-2015, raconte Irma à l'AFP. Je lui écris un message, il me dit qu'il découvre mon travail, l'aime et me demande si ça me dirait de l'accompagner sur sa tournée européenne.»

Voilà donc la chanteuse bientôt repartie sur les routes, pour assurer la première partie, avant sa propre série de concerts et un cinquième album dans les tuyaux pour septembre. La genèse de House of cards est «très étalée dans le temps, comme le décrit l'artiste. Cette chanson est née en 2016. C'est ce que j'appelle une “chanson de tiroir” : je l'ai toujours aimée mais pas su quoi en faire jusque-là.»

Ce "Château de cartes" qui s’écroule, c’est celui d’une relation qui se brise.

"A la réflexion, j’ai souvent été inspirée par les ruptures. 'Letter to the lord', c’était déjà ça", s’amuse-t-elle. "La mélodie n’a pas bougé, j’ai juste eu du mal à retrouver l’accordage (de sa guitare), bizarre à l’époque, je devais être vraiment mal". La psychanalyse raffolerait du sous-texte des accords/désaccords.

Irma (Chant, guitare)

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